• Le Yin et le Yang : parfaite harmonie

    Yin-Yang
    Tout le monde connaît ce symbole chinois et taoïste du Yin et Yang ;
    il est très à la mode et son emploi vulgarisé nous est devenu coutumier.

    Un symbole chinois et plus précisément taoïste
    Derrière son apparente familiarité, que signifie vraiment ce symbole et pourquoi s'est-il imposé d'une façon si naturelle et universelle ?
    Comme nous le décrit le docteur Tran Tien Chanh dans son livre L'Acupuncture et le Tao, « le Taoïsme est une philosophie qui recherche l'harmonie de l'homme en l'intégrant dans un ordre universel, le Tao.
    Tao signifiant La Voie (sous entendu de l'accomplissement), le Taoïsme est avant tout l'Art d'être au monde.
    En effet, l'homme fait partie d'une façon intégrante de l'univers dont il est un fragment éphémère et indissociable ; sa vie est étroitement solidaire de la vie universelle ; il ne pourra trouver son bien-être qu'en recherchant l'harmonie avec cet ordre naturel cosmique, ce principe de vie suprême nommé Tao.
    Ainsi le Taoïsme se fonde sur l'observation de la nature afin de percevoir le déterminisme* de l'existence.
    Reconnaissant les limites et la relativité de la pensée analytique, la démarche taoïste privilégie avant tout l'intelligence intuitive qui est inhérente à l'esprit humain et donc, entièrement dissociée des normes morales et du monde conventionnel.
    Les taoïstes sont intimement persuadés que la nature est, par essence, dynamique, autrement dit, tout, absolument tout ce qui existe, repose fondamentalement sur le mouvement et la transformation. Et à leur tour, tous les phénomènes, tous les mouvements et tous les changements qui se situent au sein de la manifestation résultent nécessairement de la relation dynamique entre deux pôles opposés mais complémentaires : le Yin et le Yang, cette dualité essentielle des réalités de l'univers. »

    * Déterminisme : caractère d'un ordre nécessaire de faits répondant au principe de causalité ; système philosophique selon lequel tout dans la nature obéit à des los rigoureuses, y compris les conduites humaines.
    Plénitude et simplicité
    En premier lieu, sa perfection nous parle d'équilibre et c'est pourquoi il nous séduit tant : un cercle dans lequel s'inscrivent deux parties courbes s'harmonisant totalement et cependant contenant l'essence de son inverse, deux complémentarités qui s'impliquent mutuellement dans un mouvement permanent.
    Malgré son immobilité, ce symbole évoque l'alternance, la croissance et la décroissance toujours réciproque, une idée de cohésion, d'interdépendance de l'un vers l'autre car le Yang va au Yin et le Yin va au Yang comme l'évolution du jour vers la nuit et inversement.
    L'ombre et la lumière, la nuit et le jour, la lune et le soleil, l'hivers et l'été, le bas et le haut, l'intérieur et l'extérieur, la femme et l'homme…, autant de couples symétriquement opposés qui forment les deux côtés d'une même pièce, les deux versants d'une colline, l'un ne pouvant exister sans l'autre.
    Ainsi le Yang en vient-il à symboliser le pouvoir fort, le principe masculin actif, la luminosité, le mouvement et l'action de créer tandis que le Yin représente l'élément sombre, le principe féminin passif, le réceptif, la tranquilité et la faculté de mener à bien une création.

    - " Le bien et le mal, le bonheur et le malheur ? " - Absolument Non ! Lire la suite
  • Un soir, sans me voir, une question il me posa… ou, la Vraie Histoire du Père-Noël

    Un soir, sans me voir, une question, il me posa. Il voulait savoir…
    Si les adultes étaient des menteurs, s'ils étaient juste des enjoliveurs,
    Si sur eux, il pouvait compter, eux si prompt à inventer la vérité.

    Il se demandait comment il allait faire pour vivre dans un monde…
    Où le Père-Noël n'existait pas.
    Il se demandait si même la vie vaudrait maintenant d'être vécue…

    Car, si le Père-Noël n'existe pas,
    Alors non plus la petite sourie, ni non plus la cloche de Pâques, ni non plus les bisous magiques…
    Alors, la magie n'existe pas…

    Mais alors, qu'est-ce qui existe ?
    Il existe des grandes personnes qui veulent faire croire à des enfants des choses auxquelles elles-même ne croient pas.
    Cela s'appelle le mensonge. Alors, le mensonge existe.

    Le télévision existe. Elle crie.
    Elle aussi, elle raconte des choses tellement lointaines que finalement, elles n'existent pas.
    Cela s'appelle l'illusion. Alors l'illusion existe.
    - Mes parents et mes grand-parents travaillent. Père-Noël Ils travaillent pour gagner de l'argent. Avec cet argent, ils achètent des jouets pour Noël, mais aussi un canapé, un lave-vaisselles, une brosse à dents électrique, une voiture, une semaine de vacance en été…
    Alors le confort existe.
    - J'ai huit ans, je suis grand maintenant, je comprends.
    Je comprends que la vie d'après mes huit ans, ce sera une vie sans Père-Noël, sans petite sourie, sans bisous magiques…
    Une vie où le mensonge existe, où l'illusion existe, où le confort existe.
    Un soir, sans me voir, une question, tu me posas,
    Tu voulais savoir, tu avais peur de savoir… que le Père-Noël n'existe pas…
    Voilà pour toi une histoire, une histoire où le Père-Noël existe.
    Voilà pour toi la vraie histoire du Père-Noël… Lire la suite
  • J'ai fais un rêve…
    Une nuit, j'ai fais un rêve, ou plutôt un cauchemard saisissant.

    Lozanges
    Je rêvais que ma famille et moi aidions un mouvement de résistants contre une oppression grandissante et puissante.
    Mon companon et moi faisions de notre mieux pour être une ressource à la libre pensée et à une vie libre tout en expliquant nos choix à nos trois enfants, 13 ans, 8 ans et 5 ans. Ils étaient d'accord tout en supportant, avec plus ou moins bonne grâce, les privations et les précaussions dont nous devions faire preuve…
    Cela a duré un certain temps et nous nous en sortions à peu près bien. Pendant ces quelques années d'activité, nous recevions régulièrement la visite d'un oncle sans domicile qui venait se faire nourrir et tenir au chaud en se réclamant de l'hospitalité familiale. Nous supportions sa présence vulgaire et sale en espérant à chaque fois que son séjour serait de courte durée.

    Un jour que nous venions de confier nos deux plus petits à la bienveillance chaleureuse de nos voisins pour un séjour à la campagne, la milice fit irruption dans notre maison, suivie de notre oncle, arrogant et richement costumé. Ayant découvert nos agissements, il nous avait dénoncé, ce qui lui avait valu son revers de fortune…
    Saisie par l'urgence de la situation, je me précipitai vers mon grand fils (13 ans), déjà brave et fort mais encore un enfant, comme il aimait à nous le rappeler quelquefois.
    Je pris ses mains dans les miennes et plantai mon regard directement dans son cœur. Bouleversée et rongée de culpabilité, je lui parlais de la souffrance, lui apprenais que nous n'étions pas à l'abris d'être torturés. Comprenant la situation, il m'écoutait de tout son être, comme s'il gravait mes paroles dans son cœur. J'ajoutais qu'il y avait un endroit, en lui, où il pouvait se réfugier s'il endurait de trop grandes souffrances physiques ou intérieures, un endroit où il serait en sécurité et où rien ne pourrait l'atteindre car il était rempli de la lumière de l'amour que son père et moi avions pour lui. Même si nous ne devions plus nous revoir, toujours il nous retrouverait dans cet endroit où nous serions là avec lui, à vivre dans la paix, l'amour et la joie. Par une sorte de télépathie, je lui montrais comment accéder à cet endroit et nous fûmes arrachés l'un à l'autre.
    Alors qu'on me tirait violament, je m'accrochais à son regard innocent et incrédule.
    Comment pouvait-on blesser tant de beauté, tant de pureté ?
    Un dernier regard d'amour à mon compagnon qui, pensant chacune de mes paroles, tentait de gagner du temps, et nous étions séparés tous les trois.
    Je me réveillais en sanglots, incapable de reprendre mes esprits pendant un long moment. Dans le sillage de certains personnages de films sur la guerre, j'étais ravagée, meurtrie, remplie d'effroi.
    Je confiais à mon compagnon le contenu de ce rêve, complètement déprimée et découragée.

    Depuis de nombreuses années maintenant, nous sommes engagés dans une vie alternative et voulons être des êtres humains responsables de leurs actes.
    ✧ Nous nous efforçons de réfléchir par nous-même aux situations et ne nous laissons pas agir par d'autres ; nous ne voulons pas participer à l'exploitation du monde et des humains, ni participer au système qui consiste à abrutir les gens pour en faire de parfaits esclaves consentant et esclavagistes à leur heure !
    Dans cette vie là, la seule valeure prestigieuse est la somme de pouvoir que l'on réussit à avoir sur les autres !
    Dans cette vie là, même les moins chanceux n'ont qu'une envie, c'est d'avoir plus de pouvoir demain qu'hier afin de prendre leur revanche !
    ✧ Nous ne voulons pas que notre comsommation à outrance coûte la vie ou la santé à d'autres êtres humains ou encore détruise notre planète. Lire la suite
  • Quel est notre objectif ?

    N ous sommes nés sur cette planète, au sein d'une famille et nous avons une histoire personnelle dans cette vie.
    Nous avons grandit dans une plus ou moins grande inconscience…
    Nous sommes devenu adulte, c'est-à-dire, nous avons atteind la majorité. Pour la plupart, nous avons développé une sexualité, plutôt minable si ce n'est pas complètement sordide, ainsi qu'un certain développement professionnel, dans une plus ou moins grande inconscience…
    Nous n'avons pas oublié de former un couple parce qu'ainsi vont les choses, dans une plus ou moins grande inconscience…
    Et, dans une plus ou moins grande inconscience…, nous avons eu des enfants, comme n'importe quel animal digne de ce nom… et les avons traités comme n'importe quel animal indigne de ce nom.

    Quand deviendrons-nous conscient de qui nous sommes vraiment,
    conscient de ce que nous faisons et de pourquoi nous le faisons ?
    Qui sommes-nous ?
    Qui es-tu, toi qui lis ces lignes ?
    Qui veux-tu être ? Au fond de toi, tu le sais !
    Comment te vois-tu ? Dis-le, écris-le pour ne surtout pas l'oublier !
    ✤ Tu es un petit bout du monde ! Non, pas une parcelle infinitésimale qui n'a aucune importance !
    ✤ Tu es un petit bout du monde qui a une importance !
    ✤ Tu es un morceau du puzzle, sans toi rien n'est fini, rien ne peut même commencer !
  • Au-dessus de l'agitation du monde
    Je m'élève et me place au-dessus de l'agitation du monde.
    Cirque-Trapèze De là-haut, je nous regarde et je me dis :
    Qu'est-ce c'est que toute cette agitation ?
    Pourquoi s'agite-t-on ainsi ?
    Pourquoi s'essouffler, s'époumonner de la sorte ?
    Qu'espère-t-on trouver dans tout ce bruit, dans toute cette pollution ?
    Ai-je envie de retouner parmi tous ces agités ?
    Plusieurs fois, je suis retournée dans l'agitation du monde.
    J'avais envie de faire partie, envie d'exister, d'être reconnue par mes paires… et pour cela, je m'agitais moi-aussi…
    Je m'agitais, je m'essoufflais, je m'époumonais en leur disant :
    - "Regardez-moi, je suis là, j'existe, je veux vivre et grandir avec vous !"

    Mais, j'ai fini par le comprendre, dans ce monde d'agités, rien n'existe ni personne !
    L'inconscience manipulée conduit les « agités » à une vie d'esclaves consentants, voulants surtout que rien ne change.
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  • La Désargence, une dérive…

    Q uel mot curieux… Désargence…
    C'est un mot qui ne me laisse pas indifférente…

    Je m'approche un peu et voici ce que je lis :
    - « A quoi ressemblerait notre société si l'être humain faisait disparaître l'argent ? »
    Je m'approche davantage et voici ce que j'entends :
    - « C'est l'argent le problème, c'est lui qui a gâché l'humanité ! »


    Je venais juste de revoir le film 2001, l'Odyssee de l'espace… Curieux film lui aussi mais combien intéressant, surtout quand on peut se référer au livre pour déchiffrer le sens de l'histoire…
    … Juste de revoir Planète Interdite…, deux films riches d'enseignements sur le sujet de l'être humain et de son humanité (je parle ici des messages transmis par le film et non des plus époustouflants effets spéciaux).

    En effet, je pense sincèrement que le problème majeur dans notre société n'est absolument pas l'argent – mais l'humain lui-même.
    L'argent n'est qu'un outil !
    L'ARGENT N'EST QU'UN OUTIL !!!

    Au début, le singe est herbivore. Il végète en se nourrissant des mousses qui poussent difficilement sur les cailloux et partage son territoire avec les autres animaux.
    Brusquement, dans un éclair de conscience, l'outil se révèle à lui.
    Il le saisit et tue le phacochère pour le manger – il devient carnivore.
    Il est repu, il est fort, il est fier, il est debout.
    Il décide d'aller reprendre le trou d'eau, son territoire dont « un plus fort » l'a chassé.
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  • Notre Temple Personnel
    Papillon

    Nous allons parfois chercher bien loin ce qui est à notre portée…
    Si vous le voulez bien, partons ensemble de ce point de départ :
    - Naturellement, chacun de nous cherche à s'élever.


    Souvent, au début de notre croissance humaine, nous croyons que l'élévation se trouve dans le monde matériel. C'est pourquoi notre premier réflexe est de chercher à agrandir notre prestige social, par des moyens plus ou moins harmonieux.

    Mais le problème est que cette quête n'a pas de fin, car jamais on ne parvient sur la ligne d'arrivée. C'est donc finalement anxiogène et génère une infinité d'infirmités.
    C'est là qu'il faut comprendre que le matérialisme, la mondialisation telle qu'on la connaît et toutes les corruptions qui nous sont devenues familières sont en fait les mensurations d'UNE société, celle que nous avons façonnée depuis le début du temps humain.

    Sans y réfléchir et parce que nous avons été conditionnés dès avant notre naissance, nous vénérons cette société comme un Temple sacré dont le Dieu se nomme PROGRES TECHNOLOGIQUE.
    Ce que je veux dire c'est que l'on n'est pas obligé d'admettre la société d'aujourd'hui comme étant le seul modèle à adopter.
    En fait, chacun est en mesure, dans l'instant, de créer un nouveau modèle, à sa mesure, avec des valeurs de noblesse, de loyauté et de générosité.
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  • Il était une fois… LES BRUITAMARRES

    I l était une fois, un monde…
    Ce monde ressemblait beaucoup au monde que l'on connaît tous. Il y avait une Terre, sur cette Terre, il y avait des montagnes et des rivières, des arbres et des fleurs, des villes et aussi des gens.

    Ces gens parlaient un drôle de langage, fait de gestes et de sons, de gestes brusques et désordonnés et de sons sonnants et trébuchants provenant de petites pièces en métal contenues dans des sacs. Ces gens avaient aussi des coutumes curieuses ;
    il semblait que plus ils s'agitaient, plus ils faisaient sonner leurs jouets métalliques et plus ils étaient estimés de leur congénères.
    Buitamarre
    Chacun donc se démenait pour faire plus de bruit que son voisin, pour que l'écho de son tintamarre s'entendisse et s'étendisse autant que sa renommée. Cela aurait pu être ainsi et c'est tout mais cela n'est pas tout car un problème advint.

    C'est que, pour faire autant de bruit, ces gens devaient traîner avec eux de plus en plus gros sacs à sous… qui étaient très lourds.
    À force, ces courbettes et courbatures rendaient les gens…
    Oui, à force de se plier en deux pour traîner ces boulets dorés,
    les entournures se grippaient, les jointures se durcissaient… le tout donnant une tournure fourbue, un aspect bossu et grincheux à tous ces Bruitamarres finalement drôlement mal embouchés.

    Remarquez, ça se comprend ! Oeuvrer toute sa vie durant pour quelque chose qui finalement vous abime et vous déçoit, non seulement c'est dur à avaler mais ça rend aigri et même parfois… méchant.
    Alors les Bruitamarres abimés et méchants s'éteignaient dans la solitude, l'abandon et l'incompréhension, tout abrutis d'inutiles égarements.

    Puis un jour, on ne sait comment ni pourquoi, par une nuit éclairée de lunes, un des Bruitamarres comprit quelque chose.
    Attention ! C'est une révolution ! Il compris que leurs vieillesses étaient assombries à cause des pesantes courbettes.

    La plupart, bien sûr, ne voulurent surtout, surtout rien entendre. Mais, tout occupés qu'ils étaient à bruitamarrer, ils ne pouvaient se boucher les oreilles…
    Remarquez, les réfractaires aux idées neuves, ceux qui empêchent les autres d'évoluer en rond, ceux-là aussi ont aussi leur raison d'être… On ne passe pas, comme ça, brutalement, du Yin au Yang, de l'hivers à l'été, de la nuit, au jour…, non, dans la nature, ces choses-là ne se font pas.

    Alors, pour le plaisir de l'espoir ou l'espoir du plaisir, ce Bruitamarre qui a compris quelque chose a fait germer une graine d'évolution mais…
    « Vous le saviez, vous, que faire pousser une graine d'évolution n'est pas un plaisir facile ? » Lire la suite

  • Le Développement Soutenable

    Développement soutenable

    « UN DEVELOPPEMENT QUI REPOND AUX BESOINS
    DES GENERATIONS DU PRESENT
    SANS COMPROMETTRE
    LA CAPACITE DES GENERATIONS FUTURES
    A REPONDRE AUX SIENS.»

    Définition proposée en 1987 par la Commission Mondiale
    sur l’Environnement et le Développement,
    sous la pression des ONG.


    C’est cette notion de DEVELOPPEMENT SOUTENABLE que nous présente Philippe Casanova dans son livre
    Le Bambou, du Développement durable à la création d‘objet.


    Dans cette définition, deux concepts importants sont introduits :
    ✪ Le premier est la notion de besoin. Elle met l’accent sur les droits fondamentaux de chaque personne, et notamment les plus démunis. Ces droits sont non monnayables, c’est-à-dire qu’un développement qui se fait au détriment de ces droits n’est pas soutenable.
    ✪ La seconde notion est celle de capacités des générations futures. S’il y a développement aujourd’hui mais qu’il empêche la possibilité de développement à l’avenir, il n’est pas soutenable.

    Il est inexact de déclarer que le développement soutenable est opposé à la mondialisation (processus de développement cautionné actuellement par la majorité d’entre nous) et pour cette raison, de s’en détourner.
    Il est simplement opposé au fait que ce développement se fasse au détriment des plus pauvres et des générations futures.

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Mes Parutions